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TROIOU KAER FROMFROMGIRL

15 avril 2019

Encore des emmerdes

Décidément, je n'écris que pour des choses pas agréables, mais j'ai besoin de les mettre par écrit.

Le 10 janvier, j'ai glissé dans l'école et je me suis fait une entorse au genou. J'ai appris jeudi par ma directrice que l'accident de travail a été reconnu par l'E*N. et que mon salaire était maintenu pour la période du 10 janvier au 10 février. Mais samedi, j'ai reçu un courrier concernant l'octroi de congé maladie, courrier où j'ai découvert que je passais à demi-traitement à partir du mois de mars. J'ai appelé la responsable de mon dossier au re*ctor*at pour lui demander des explications. Elle m'a répondu qu'ils n'étaient pas sûrs que la prolongation de mon arrêt est dûe à l'entorse, mais plutôt à l'arthrose dont je souffre (ceci étant dit, j'ai de l'arthrose dans les deux genoux, et je ne me suis jamais arrêtée à cause du gauche.)

Ce qui me met en colère, c'est qu'ils disent ne pas pouvoir savoir ce qu'il en est avant l'expertise médicale pour laquelle ils m'ont demandé de prendre rendez-vous (ils ne sont pas fichus de faire les choses eux-mêmes). Cette expertise aura lieu le 5 juin, et je me demande ce que l'expert pourra voir de mon état actuel...

Deuxième point qui m'énerve, c'est que pour le demi-traitement, ils se basent aussi sur mon arrêt de travail de l'année dernière - consécutif aux emmerdes provoquées par l'ancienne directrice - considéré comme arrêt maladie et pour lequel j'ai demandé une requalification en accident lié au service. Ca va faire un an que ça s'est produit et je n'ai toujours pas de nouvelles...

Je sais qu'il y a plus à plaindre que moi, que nous ne sommes pas dans une situation financière précaire, mais c'est chiant de penser qu'en plus de ne pas pouvoir bouger de la maison, d'avoir encore mal, je me pourris l'esprit avec ce genre de conneries et que je fais tout subir à Cornus.

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14 juin 2018

Des conneries, toujours des conneries…

ATTENTION ! Je n'écris pas beaucoup (doux euphémisme !) mais la note qui suit est trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès longue... et pas forcément réjouissante. Je vous prie de m'en excuser par avance !

 

Je subis en ce moment le contre coup d’une grosse année où il s’est passé un certain nombre d’évènements qui se sont enchainés.

Je travaille dans une école d’H. depuis 4 ans (je vais battre mon record d’enseignement dans la même école à la rentrée de septembre). Quand j’avais su que je perdais mon poste dans l’école précédente, j’avais très longuement hésité à mettre l’école où j’enseigne actuellement en haut de la liste des 8 établissements que j’avais choisis. La raison en est la réputation de la harpie qui était directrice.

J’avais déjà eu l’occasion de la voir deux fois alors que j’enseignais en tant que suppléante dans une autre école. La première fois, mon école et la sienne devaient se rencontrer pour chanter. Estimant que certains élèves n’étaient pas très calmes, je m’étais permise d’aller les voir pour leur demander de se contrôler. J’ai su plus tard que la charmante dame (que j’ai surnommée Gracieuse 1ère) avait demandé aux autres collègues : « qui est la dame en noir ? ». J’aurais pour ma part répondu « ce n’est pas Barbara », mais je ne sais pas si elle aurait compris ! Elle n’avait pas eu la politesse de me saluer, comme j’apprendrai plus tard qu’elle ne le fait que contrainte et forcée… Le soir du spectacle, elle avait remercié ses enseignantes qui, elles, n’avaient pas été aidées par un intervenant extérieur. Quelle ne fut pas ma stupéfaction de l’entendre dire : « je remercie, unetelle, unetelle et … moi ! »

La deuxième fois, lors d’un mini tournoi de tennis organisé pour les écoles de la ville et du secteur, j’avais été accueillie et saluée par tous les collègues, sauf elle… Un enseignant m’avait alors appris qu’elle ne riait que lorsqu’elle se brûlait. Elle n’avait eu qu’une ébauche de sourire quand elle avait su que ses élèves terminaient à la deuxième place. Je suis sûre qu’elle n’avait pas autant félicité ses élèves que je ne l’avais fait avec mes élèves arrivés bons derniers.

Lors de mon année de « stage », après le concours, j’avais rencontré une instit dans la même situation que moi (deux fois trois semaines de stage et le reste de l’année en poste), qui travaillait dans cette école. Constatant qu’il n’y avait pas assez de tables dans sa classe de Grande Section de maternelle, pour ses 32 élèves, elle avait demandé à G. 1ère si elle pouvait prendre les quelques tables qui étaient en dehors de la classe de CP de G. 1ère (20 élèves). ON lui avait répondu que non, que ces tables étaient très utiles en cas de besoin pour former des groupes de travail… Réponse de la collègue : « j’espère que tous mes élèves ne seront jamais à l’école en même temps… »

Ceci, plus un certain nombre de rumeurs (auxquelles je n’accorde d’habitude pas d’importance), m’avaient donc fait hésiter à postuler dans l’école. Cependant, la proximité de cette école avait fait pencher la balance. La procédure normale est de déposer une lettre de « candidature » informative dans toutes les écoles où on postule, ce que j’avais fait. Ma nomination dans cet établissement connue, j’avais décroché mon téléphone pour appeler la dirlotte, avec un « peu » d’appréhension (augmentée par mon amour de cet instrument). La suite avait donné raison à mon anxiété. Alors que je me parais de mon plus beau sourire, je m’étais entendu dire qu’elle ne savait pas qui j’étais. Je lui expliquais alors que j’avais bien déposé ma lettre. Elle m’avait alors reproché de ne pas avoir pris de renseignements sur le niveau de classe, la pédagogie… Je lui avais dit que je connaissais le niveau grâce à un enseignant spécialisé qui travaillait dans son école et la mienne. Qu’est-ce que je n’avais pas dit ! L’enseignant en question s’est pris une avoinée pour avoir divulgué des informations sur l’école. J’ai découvert par la suite que c’était le fonctionnement habituel de Madame. Elle ne supportait pas que quelqu’un donne une information avant elle. Pour l’appel téléphonique, j’ai su que toute personne demandant des infos sur un poste à l’école se faisait traiter – derrière son dos – d’emmerdeur, parce que dans une école, on a autre chose à faire que de répondre au téléphone… Un postulant a même entendu que ce n’était pas la peine qu’il demande à venir travailler dans l’école.

Une fois en poste, j’ai découvert le bonheur de travailler avec cette charmante femme : refus des propositions faites par les enseignantes (son « oui, mais… » est devenu un gimmick), dissimulation d’information, mensonges en tous genres, crises d’autorité, pétage de câble pour des broutilles (« qui a pris les pantalons noirs pour la kermesse ? ») … Tous les matins, nous nous demandions quelle serait son humeur, si elle daignerait nous saluer.

Mais plus grave est la vie qu’elle a mené à plusieurs salariées. La même année – et c’est ce qui a commencé à nous faire prendre conscience de la capacité de nuisance sévère de G 1ère – deux personnes ont été obligées de quitter l’école pour cause d’incapacité. La première, aide maternelle, avait demandé une adaptation de son poste de travail pour cause de mal de dos. Elle demandait de passer de petite section (où les tables sont très basses) en grande section (où les tables sont un tantinet plus hautes). ON lui a répondu qu’elle avait choisi de travailler avec les plus petits quelques années auparavant et qu’elle devait assumer ! Elle a choisi de partir parce qu’elle avait quasiment atteint l’âge de la retraite. La situation de la secrétaire a été beaucoup plus douloureuse. Elle travaillait à mi-temps dans l’école et à mi-temps dans une autre école de la ville. Régulièrement, elle finissait sa journée en larmes, suite à des réflexions, sur sa prétendue lenteur notamment. Elle a fini par craquer, par se mettre en arrêt. Elle a été jugée inapte à travailler dans l’école ce que G 1ère a tourné à sa sauce (« elle est incompétente…. ») alors que l’inaptitude ne concernait pas l’autre école. Elle a été licenciée, et je m’en veux de ne pas avoir été en capacité à l’époque de la soutenir et de l’inciter à porter plainte pour harcèlement. Je l’ai revue à plusieurs reprises. Elle ne se remet toujours pas de la façon dont elle a été traitée.

La situation nous (l’équipe enseignante et une collègue aide maternelle) a quand même fait réagir. Nous avons demandé un rendez-vous avec les responsables du syndicat auquel adhère une collègue. Nous avons été reçues par plusieurs personnes qui nous ont assuré de leur compréhension, qui ont confirmé que la situation n’était pas normale. Puis ils nous ont dit qu’il fallait qu’on écrive un courrier signalant les problèmes. Or, à l’époque, nous étions dans un tel état de mal-être que nous n’avons pas osé, par peur de représailles. Ils n’ont pas cherché à savoir comment évoluait l’affaire.

Ce qui a vraiment déclenché une action forte, c’est la volonté que quatre d’entre nous ont eues de nous présenter à l’élection au Comité d’Entreprise, commun à notre école et à un lycée de la ville. Nous n’avions pas connaissance de son existence avant qu’une collègue ne nous en informe. Nous avons donc sauté le pas, dans le but premier de développer des actions de convivialité que G 1ère était incapable de mettre en place. Une collègue et moi avons été élues.

Nous n’avions pas idée de ce que cela allait provoquer !

Dans un premier temps, les réunions se sont super bien passées. Nous avions enfin la vision d’un établissement (le lycée) où des choses étaient mises en place pour le bien des personnes qui y travaillent. Nos langues se sont déliées, nous avons parlé de situations qui étaient à l’opposé de celles vécues au lycée. Ce qui nous a le plus étonnées, c’est la réaction des membres du CE, directeur du lycée compris. Ils étaient abasourdis, et ils nous ont fait prendre conscience de la situation inadmissible que nous vivions. A la suite d’une visite de l’école par le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, le secrétaire a fait la demande de casiers fermés où les femmes de service pourraient mettre leurs affaires à l’abri, et d’un frigo pour entreposer les repas des adultes qui mangent à l’école. Nous ne pouvions pas imaginer la réaction de G 1ère. Elle est entrée dans une colère folle, et pendant une demi-heure, ma collègue élue et moi avons entendu qu’elle faisait tout pour son école, que c’était de l’ingérence inadmissible, j’en passe et des meilleures… Nous avons réussi à garder notre calme. Une intervenante extérieure nous a dit par la suite qu’elle avait été choquée par le ton que G 1ère avait utilisé.

Malheureusement pour nous, G 1ère a décidé dès lors d’assister à nos réunions. L’ambiance s’en est particulièrement ressentie. Nous n’osions plus prendre la parole. Le summum de l’irrespect a été atteint lors de la réunion d’organisation de l’arbre de Noël. Quand on a abordé la question des personnes qui devaient acheter les cadeaux pour les enfants, G 1ère s’est exclamé : « vous n’avez qu’à demander à celles-là » en nous montrant du doigt. J’ai cru avoir mal entendu, mais le visage médusé de deux membres du CE ont confirmé la chose.

Mais, elle ne s’est pas rendu compte qu’elle avait commencé à tresser la corde qui allait la pendre. Le secrétaire du CE est membre d’un syndicat qui est « légèrement » différent de celui à qui nous avions été confronté. Il a pris les choses en main, et connaissant les prérogatives des délégués du personnel, il a fait comprendre à la dirlotte un certain nombres de choses, a demandé la mise en place de panneaux légaux pour l’information du personnel. Il est venu à l’école et a insisté jusqu’à obtenir satisfaction. Elle a tellement mal supporté qu’il insiste qu’elle l’a accusé de la harceler…

Pour nous aider, ce secrétaire a demandé à son responsable syndical de venir nous rencontrer. Nous étions 4 enseignantes sur 5 plus l’aide maternelle. Il est venu au lycée, après la journée de classe, pour discuter avec nous. Il a senti que nous n’étions pas prêtes à lancer une action ouverte contre G 1ère,mais il a proposé de nous accompagner afin de trouver la meilleure solution pour résoudre les problèmes. Il a eu l’illustration de notre état lorsque nous nous sommes levées comme une seule femme, les larmes aux yeux, suite à l’annonce de notre secrétaire de CE de l’arrivée prochaine de la dirlotte pour une réunion de gestion dans le lycée. Nous avons demandé à sortir par un endroit où elle ne pourrait pas nous voir si elle arrivait en avance…

Par la suite, nous nous sommes réunis à plusieurs reprises chez moi afin d’essayer de dénouer la situation. Nous avons au bout d’un certain temps décidé d’écrire des courriers au président du comité de gestion, employeur de la directrice, au nom du CE, et à notre inspecteur, avec copie pour la dir*ection dio*césaine pour le volet pédagogie et vie de l’école. Dans ce courrier, nous faisions part de ce qu’elle m’avait fait vivre lorsqu’elle m’avait annoncé, le jour de la pré-rentrée, qu’elle allait partir avec MES élèves à M*ilan pour l’exp*osition un*iverselle. Elle m’avait aussi dit qu’elle préférait me le dire avant que les parents ne m’en parlent... eux, avaient été mis au courant pendant les vacances d’été…

L’inspecteur a demandé à nous rencontrer, en même temps que la directrice. Nous étions contre cette idée au départ, mais, finalement, cela a été profitable puisque nous nous sommes trouvées justifiées de notre démarche, qu’elle a subi des remontrances sur son attitude… A l’issue de la réunion, l’inspecteur a proposé que nous nous rencontrions pendant l’année scolaire suivante, afin de faire le point. Avant que nous partions, il a donné à lire à une collègue, un courrier de parents qui soutenaient la dirlotte. Cela aura de l’importance pour la suite.

Nous avons également sollicité un rendez-vous avec le dir*ecteur dio*césain. Il n’a pu nous recevoir que mi-juillet, date à laquelle j’étais en vacances en Bourgogne avec mon cher et tendre. J’ai donc pris le train pour faire l’aller-retour dans la journée. La rencontre s’est très bien passée, même si, et nous l’attendions, G 1ère a été en partie soutenue. Mais, on nous a assuré qu’elle serait sous tutelle renforcée. Nous sommes sorties de là un peu rassurée.

Alors que nous prenions un verre, nous avons demandé au responsable syndical qui nous avait soutenues et accompagnées ce que nous pourrions faire pour le remercier de son action pour nous. Il nous a répondu qu’il proposait à l’une d’entre nous, si elle était intéressée, de prendre une part active dans le syndicat par le biais d’une décharge syndicale de 3 heures par semaine. J’ai accepté. Et bis repetita pour l’importance par la suite.

A la rentrée, nous avons constaté la présence de G 1ère, pas vraiment agréable. Nous avions secrètement espéré qu’elle déciderait de prendre sa retraite dès septembre (elle aurait pu le faire il y a 3 ans déjà). Après nous avoir interdit de rejoindre nos collègues du lycée pour une rencontre au bowling proposée par le CE, elle s’est enfermée dans son bureau avec l’adj*oint au dir*ecteur dio*césain, qui avait changé pendant l’été. Nous avons hérité d’un personnage imbuvable, connu comme le loup blanc pour son manque de respect pour les enseignants, et son attachement, coute que coute aux directeurs. Il n’a pas daigné, comme à son habitude, venir nous saluer.

Lors de la première réunion prévue avec l’inspecteur, on nous a annoncé la présence non prévue, elle, dudit adjoint. L’inspecteur n’a pu que nous annoncer que son pouvoir était limité, qu’en tant qu’établissement privé, nous étions sous la responsabilité de la dir*ection dio*césaine… Nous sommes sorties dépitées, avec l’impression d’être revenues en arrière.

Nous attendions tout de même l’annonce du départ en retraite officiel de G 1ère. Il n’est jamais venu. Les seules infos que nous avons eues, c’est qu’elle clamait partout qu’elle était obligée de partir un an plus tôt à cause de son « équipe de merde »… Lors d’une réunion, elle nous a dit en pleurs qu’elle en avait marre qu’on passe par-dessus sa tête pour parler au CE (elle a interdiction d’assister aux réunions), qu’on faisait du « délit de sale gueule » à son encontre et autres joyeusetés.

La dernière affaire en date par rapport au CE avait été le signalement de la mise en place en toute illégalité de caméras de surveillance à l’extérieur de l’école et dans la cour de récréation !

L’année scolaire s’est déroulée cahin-caha jusqu’au retour des vacances de février. Nous avons appris à ce moment-là qu’elle était en arrêt de travail pour 3 semaines. On n’a pas sauté de joie (nous sommes humaines, quoi !), mais presque… La seule inconnue était sa reprise ou non au bout des 3 semaines, mais non, elle a prolongé jusqu’aux vacances de printemps. Je n’étais cependant pas confiante sur la fin de sa capacité de nuisance. Et la suite m’a donné raison.

 

 

Juste avant les vacances de printemps, un mercredi où nous étions en formation, j’ai été avertie qu’un de mes élèves ne viendrait pas à l’école les deux derniers jours, pour cause de harcèlement. J’ai eu l’information par la collègue qui a la délégation de direction. Elle-même avait été avertie par une femme de service à laquelle les parents avaient téléphoné. Persuadée que les parents voudraient me rencontrer, je me suis tenue prête à les recevoir. Ils ont refusé de me voir, et ont indiqué à la collègue déléguée de direction que de toute façon, il était impossible de discuter avec moi.

A la fin des vacances, j’ai reçu un mail signé de G 1ère, indiquant que l’élève en question allait changer de classe (il est en C*M*2, et dans l’école, il y a une autre classe de C*M*1/C*M*2). J’ai appris à cette occasion que la décision avait été prise en accord avec l’adj*oint au dir*ecteur dio*césain. Après enquête, la dirlotte avait repris pendant les vacances, pour se remettre en arrêt à la rentrée.

Le jour de la rentrée, la collègue déléguée m’a annoncé la présence dans l’école de l’adj*oint au dir*ecteur dio*césain qui voulait me voir. A peine entré dans le bureau, ce charmant homme m’annonce qu’il a reçu d’une lettre de plainte contenant des faits graves, mais qu’il n’est pas là pour m’entendre, que je recevrai un lettre de convocation de ses services… Je ne suis pas là pour m’expliquer, mais j’entends que je suis arrogante. Il prend pour preuve la façon dont je lui aurais parlé le jour de la réunion avec l’inspecteur… Je pense qu’il confond le ton de quelqu’un de profondément contrarié à cause de sa présence avec celui de quelqu’un d’arrogant… J’entends aussi que je suis tellement désagréable avec les élèves qu’ils n’osent même pas venir me parler. Il remet en cause les règles de vie mises en place dans ma classe et dans l’école au titre que la règle n’est pas la loi, et qu’un élève peut ne pas respecter la règle si elle ne lui convient pas… Lui, d’ailleurs, était un rebelle à l’école, qui remettait tout en cause. La convocation est arrivée pour le 30 mai, soit 15 jours plus tard.

J’ai rejoint ma classe 45 minutes après le début des cours, en pleurs…

J’ai envoyé un mail aux copains du syndicat le midi même. Sur leur conseil, j’ai rédigé un courrier au nom de l’équipe, exposant la situation de danger dans lequel était l’école à cause de cette situation. Je devais la présenter aux collègues lors de la réunion qui avait lieu le mercredi. J’avais aussi demandé à la présidente de l’a*ssoc*iation des pa*rents d’él*èves de venir à l’école pour que je puisse lui parler.

Le jour de la réunion, j’ai lu le courrier. Une des enseignantes (celle du premier syndicat et qui a refusé de nous soutenir dans l’affaire de la dirlotte) a tout de suite dit qu’elle ne voulait pas prendre parti, étant donné qu’elle est célibataire. Elle mélange tout ! Jamais son soutien n’aurait pu lui porter préjudice… La collègue déléguée n’a pas supporté de voir son nom cité, alors que ce n’était que pour indiquer que c’est elle qui avait reçu les informations… Elle nous a expliqué qu’elle avait appelé l’adj*oint au dir*ecteur dio*césain, qui lui avait dit qu’il lui interdisait d’intervenir… Les collègues qui me soutiennent vraiment étaient atterrées.

La présidente que j’ai rencontrée ensuite, avec une collègue, nous a lu un mail qu’elle avait reçu le matin même de la mère du gamin, disant que je martyrise MES élèves (et donc pas seulement son fils), que je suis la cause de l’arrêt de la dirlotte, que je prends le pouvoir dans l’école… J’ai pu constater que le changement de classe ne lui suffisait pas, qu’il fallait m’abattre. La gentille présidente (plus bête que méchante) m’a demandé s’il n’était pas encore temps pour moi de changer d’école… Je suis donc le problème, et il faut m’éliminer…

J’ai continué à travailler tant bien que mal dans ma classe, pensant au bien de mes élèves, chose qui m’importe plus que tout, quoi qu’en pensent certains.

Nous avons enfin appris que G 1ère prenait sa retraite quand la future dirlotte nous a annoncé qu’elle viendrait nous voir le mardi suivant. Elle m’a paru fort ouverte, mais j’ai frémi à quelques allusions qu’elle a faites…

Le lendemain, pendant la récréation, une collègue, sans penser à mal, m’a dit que la future savait tout de l’affaire. Quand je dis savait tout, elle n’a eu qu’une version, celle de l’adj*oint au dir*ecteur dio*césain. Je n’avais eu aucune possibilité de donner la mienne… J’ai alors senti tout tourner, et je me suis effondrée au milieu de la cour…

Mon médecin a commencé par me dire que je devais m’arrêter jusqu’à la fin de l’année. On a coupé la poire en deux, elle m’a prescrit un arrêt de 15 jours, qu’elle a effectivement prolongé quand je suis retournée la voir.

L’affaire a connu un nouvel épisode ce mardi. La mère, qui m’en veut définitivement, me demande par collègue interposée, de changer mes appréciations sur les bulletins de son rejeton, m’ordonnant d’effacer ce qui a trait au comportement du gamin et de le faire avant le 19 juin, elle ira vérifier. Elle ne veut pas que ce bulletin suive son petit chéri pendant le reste de sa scolarité. Or, elle ne sait pas que le gosse est connu pour son comportement. Il serait à HPI (haut potentiel intellectuel), ce qui excuse tout. Jamais je n’ai remarqué ou reçu de preuves de cet état. Il se fait remarquer partout où il passe par sa propension à se mêler de tout, à intervenir à tort et à travers, à refuser les conseils qu’on lui donne, à être violent (coups de pieds, de poings) en raison de prétendues provocations… Les parents m’avaient signifié, quand ils avaient daigné me rencontrer, qu’il ne faisait jamais que se défendre. Il avait d’ailleurs quitté une précédente école à cause de faits de harcèlement à son encontre.

Quant aux parents… J’ai relu leurs reproches à la lumière de leur action dans l’école : c’est eux qui ont écrit la lettre de soutien à la dirlotte, adressée à l’inspecteur ; monsieur est celui qui a fait poser les caméras de surveillance ; j’ai refusé de faire signer à mes élèves, en classe, une carte de soutien à la dirlotte alors que le gamin s’était exclamé en plein cours « avec moi et ma mère, on a fait une carte pour madame Biiip, il faut que tout le monde signe. ». Ces parents n’ont jamais cessé, et ils continuent de me donner des ordres.

Enfin, comment ne pas voir derrière tout ça l’empreinte de G 1ère, par désir de vengeance. Elle focalise sa haine sur moi qui ai eu l’affront de lui tenir tête, de participer (nous étions 5) à la mise au jour de ses turpitudes, d’être – crime de lèse-majesté ! – membre d’un syndicat mal vu par les hautes autorités morales…

Je passe par des hauts et des bas… Je pleure encore en écrivant certaines lignes, je suis révoltée par ce qu’on me fait subir (et je fais subir par ricochet à ceux que j’aime…), je suis sûre de mon bon droit et j’ai bonne conscience par rapport à mon professionnalisme, mais, paradoxalement, je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’ai une part de responsabilité… Je reconnais quelques maladresses, mais je ne mérite pas autant de haine…

3 juin 2016

Marre des géniteurs de géniteurs d'apprenants à

Marre des géniteurs de géniteurs d'apprenants à la con...

 

17 mars 2016

Marre des géniteurs d'apprenant à la con...

Marre des géniteurs d'apprenant à la con...

5 juillet 2015

Parlez-moi d'moi, y a qu'ça qui m'intéresse !

Revenons un peu sur les évènements des semaines passées...

Or donc, il y a deux mois et des poussières, je suis allée à Saint-Denis pour enregistrer Q. P. U. C. (ça fait presque romain, ce truc). J'y allais surtout pour voir si mon cerveau était encore capable de trouver rapidement la réponse aux questions d'un certain Ronan, dit Juju pour les intimes.

Ma première surprise a été de constater que le susnommé Juju était de fort bonne humeur, ce qui n'est pas toujours le cas... L'équipe sur place est extrêmement chaleureuse et fait tout pour mettre les candidats à l'aise.

La journée s'est déroulée sur un rythme effréné. La première émission, dont je ne faisais pas partie a commencé vers 9h du matin. J’ai eu le temps de me faire pomponner et de regarder l’enregistrement depuis le petit salon réservé aux candidats. Ce qui m’a beaucoup intéressée, c’est le fait qu’une des candidates revenait pour la 4e fois, et que si elle gagnait, je l’affronterais (ainsi que 2 autres candidats) pour sa 5e participation. Ce qui veut dire que si j’arrivais vivante à la dernière partie du jeu contre elle, j’étais sûre d’enregistrer une 2e émission. Et c’est ce qui s’est passé. Elle m’a battue (de justesse !) et j’ai donc participé à la séance suivante. À mon grand étonnement, j’ai gagné 3 fois. Au 5e enregistrement, j’ai chu… Pas physiquement cette fois, mais intellectuellement. Si je devais me chercher des excuses, je dirais que cette émission s’est achevée à 19h et que j’étais sur le pont depuis plus de 9 heures – avec une petite pause déjeuner tout de même, mais je n’ai même pas eu de déssert ! Il faut savoir que quand on gagne, il faut courir se changer après s’être épanché sur le ressenti de l’émission passée, se faire remaquiller, expliquer devant la caméra comment on se sent pour l’émission à suivre, poser avec Juju pour annoncer l’émission, et se faire accrocher et enlever le micro en fonction de chaque moment ! Arghl !!!

Je me plains, mais qu’est-ce que c’était chouette ! J’ai été encouragée par beaucoup de membres de l’équipe, par des candidats éliminés ou leur femme, j’ai rencontré des gens super sympas.

Chargée d’une valise contenant environ 20 kg de livres et de lots plus légers, j’ai été reconduite à l’hôtel par la candidate qui m’a battue lors de la dernière émission.

 Je dois quand même avouer une bêtise, car je ne pouvais pas ne pas me faire remarquer à un moment ou à un autre : en prenant mon virage pour entrer dans l’hôtel, j’ai oublié que je trainais une imposante valise, et j’ai arraché la baguette qui protégeait le bord de la porte vitrée coulissante de l’hôtel… Gant ar vezh !

 

Le retour a été un peu bizarre. J’avais l’impression d’avoir passé une journée sur une autre planète, j’ai dû trouver les horaires du train de retour pour remplacer celui que je n’avais pas pu prendre la veille, appeler un taxi et retourner chez moi après avoir dérangé Monchèrétendre pour qu’il vienne me chercher à la gare.

 

Ensuite, sous la torture, j’ai dû avouer à quelques-uns le résultat que j’avais obtenu. Pour d’autres, j’ai résisté vaillamment ! (bon, ils n’ont pas insisté beaucoup non plus !)

 

Arrive le moment de la diffusion. J’ai osé faire écrire à mes élèves sur leur agenda que le travail du soir consistait à regarder la télé. Honte sur moi ! Si l’inspecteur savait ça ! Ho, hé, hein, bon ! Les devoirs écrits sont interdits par la loi, pas la culture télévisuelle ! Et puis, à 10 jours des vacances, un peu de relâchement ne fait pas de mal !

Malgré ma défaite, j’ai été acclamé par la foule en délire de mes 26 élèves (moins celle qui n’a pas la télé). Ça fait tout drôle ! Et je ne vous raconte pas les jours suivants. De la folie ! Plus les collègues qui ont suivi – enfin, les sympas -, les autres élèves, les parents et familles d’élèves, le personnel de l’école… La dirlotte, elle, ne se sent plus de joie parce que le nom de SON école a été cité maintes fois, et par Juju en plus !

Il est normal que ma Môman à môâ me téléphone tous les jours pour se plaindre du danger auquel elle est confronté à cause du suspense, que la famille ; les voisins et les amis réagissent (de très agréable manière pour mon ego).

Il est plus surprenant qu’un concurrent fort sympathique de mon dernier passage en 2003 me recontacte sur Face de Bouc.

Mais ; là où c’est encore plus surprenant, c’est d’être reconnu au supermarché par d’autres clients ; d’être félicitée par une dame au volant de sa voiture alors que je traversais au passage piéton ; de recevoir une lettre venant de Mâcon, écrite vraisemblablement par un monsieur âgé et adressée à « Fromfrom, professeur des écoles, école biiiiiiiiiip ; Hzk » ; d’être la destinataire d’un coup de fil passé à l’école par une dame de 86 ans qui avait été à l’école de biiiiiiiiiip avant la guerre , d’un autre à la maison par les parents d’une instit. de l’école ; d’accueillir samedi une journaliste à la maison pour le journal local et demain un collègue du concurrent vocalement septentrional.

 

Je vous le dis : woaw ! je touche du doigt le vedettariat !!! et ça me botte parce que « Parlez-moi d’moi, y a qu’ça qui m’intéresse » !

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26 juin 2015

J'ai gagné !

Et je remets ça lundi...

25 juin 2015

J'ai perdu...

Mais je remets ça demain !

11 mars 2015

Keskifopasfère ! Mais ça fait ma note de l'année !

Voici mes réponses au Kag de Lancelot. Et je n'ai mis que 3 jours à répondre !!!

1)      Tu as un choix obligé à faire entre devenir sourd, aveugle ou paraplégique. Que choisis-tu ?

Etre paraplégique mais à condition d'être soignée par le chirurgien de Steve Austin ou de Super Jaimie.

2)      Que t’inspire le succès de « 50 Nuances de Grey » (version livre, ou film, ou les deux) ?

Le gris est sensé représenter la passion ? Laissez-moi rire !

3)      On vient d’inventer une machine à voyager dans le temps, et, 2 minutes pile avant l’attentat, on te projette dans le hall de l’immeuble de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015. Evidemment, tu es au courant de ce qui va se passer. Que fais-tu ?

Je hurle...

4)      Quelle est ta date historique préférée ? Justifie.

Je ne conais pas la date exacte, mais l'année, c'est 1492. Vous vous rendez compte que c'est grâce à Christophe que je peux me droguer légalement !

5)      Quelles ont été tes plus belles vacances ? Passées où ? avec qui ?

Toutes celles que je passe avec mon Cornus à môâ depuis qu'on n'est plus obligé de se séparer pour rentrer chacun chez soi.

Sinon, avant lui, c'était Chypre avec madame la duchesse, ma mère.

6)      Qui est selon toi, dans le paysage audiovisuel français, l’amuseur le/la pire, celui/celle qui ne te fait jamais rire ?

Patrick Sébastien

7)      Qu’est-ce que tu écoutes le matin en te lavant , ou en prenant ton petit déjeuner ?

France Inter

8)      Qui est le membre de ta famille avec qui tu t’entends le mieux ?

Môman !

9)      Quel est l’aliment dont tu ne saurais te passer à aucun prix ?

Il est suggéré dans la réponse à la question 4.

10)   Quelle est la qualité principale d’un chat ? son principal défaut ? Généralement parlant ?

Principale qualité : avoir des pensées profondes quand il est dessiné par Geluck.

Principal défaut : avoir des poils qui font atchoumer.

11)   Quel a été ton plus gros chagrin d’enfant ?

Me rendre compte que je n'en étais plus une.

23 novembre 2014

Je me pose une goulenn...

Quoi ????????

Déjà 4 notes cette année ? Faut que je me calme !

Enfin...

Je suis, depuis septembre, dans une école de notre bonne ville d'Hzk, beaucoup plus proche que celle de l'année dernière puisque je mets environ 3 min pour aller travailler cette année, alors qu'il en fallait environ 6 l'année dernière.

Je suis en CM1, ce qui ne change rien par contre.

J'ai le plaisir d'avoir 26 élèves, dont un se démarque (bon, ce n'est pas le seul, mais lui c'est assez carabiné). Le jour de la rentrée, le voyant un peu seul et l'air triste, je vais le voir en lui demandant si quelque chose le chagrinait, et il me dit que oui car son grand-père est mort la veille. Je ravale ma salive, je tente de le consoler, et je vais voir sa mère qui vient justement le chercher. Je lui présente mes condoléances et je lui vois un air parfaitement ahuri : il n'y a eu aucun décès dans la famille et le grand-père se porte à merveille...

Il y a eu plusieurs incidents du genre avec le gamin depuis...

Mais, ce qui me pose le plus de problème à l'heure actuelle, c'est que le garçon souffre d'un gros problème de prononciation (qu'il sait corriger quand il s'en donne la peine). Je me suis donc reconvertie en traductrice d'un discours où le son "t" se transforme en "k" et le son "d" en "g". Nous appellerons donc ce garçon Valenkin.

Récemment, il y avait récitation de poésie sur le thème des sorcières. Il y avait 5 poésies au choix. Valenkin en a choisi une qui parle de la cuisine des sorcières et où il est dit "touille, touille et ratatouille". Si vous avez compris le paragraphe précédent, vous comprendrez pourquoi j'ai passé la fin de la récitation le visage derrière un cahier pour ne pas montrer mon hilarité...

Mais venons-en au titre de cette note (4e de l'année, je n'en reviens toujours pas !) : Valenkin - comme les autres élèves - devait présenter un livre à la classe. Je lui ai demandé d'être particulièrement attentif à la prononciation des sons. Il l'a fait le quart du temps environ. Tout à coup, je l'entends parler d'un personnage qui est une stryge ("Les stryges, ou striges (du grec strigx, « oiseau de nuit »), sont des démons femelles ailés, mi-femmes, mi-oiseaux, qui poussent des cris perçants". Merci Ouiki). Prononcé à la Valenkin, celà donne skryge, et je me suis donc demandé s'il y a un lien avec skrijus... Merci à mes profs de breton préférés s'il peuvent éclairer ma lanterne !

 

 

(Sur ce, je me rendors sur mon clavier...)

6 avril 2014

Ouais !!!!!!!!!!!!!

Je n'ai plus rien à vous apprendre puisque mon Cornus à môâ l'a fait ici. Mais qu'est-ce que ça fait du bien quand c'est fini (et surtout quand on entend de quoi faire gonfler les chevilles...) !

 

Chose promise, chose due; tout vient à point à qui sait attendre; vieux motard que jamais; voici la recette de la pâte à raviolis : en fait, en consultant mes archives, j'ai constaté que j'avais enregistré une recette de pâte à ravioles, qui n'est pas celle des raviolis pris en photos. Et comme je suis généreuse, je vous transmets les deux (la première, je l'ai piquée sur l'internet, mais j'ai oublié où...)

PATE A RAVIOLES

 Ingrédients (quantités pour 6 personnes)

  • Farine de blé : 300 g
  • Jaunes d'oeufs: 3
  • Huile d'olive : 3 cl
  • Eau : 4 cl
  • Sel fin : 2 pincées

Avec un robot

Dans un bol, réaliser une fontaine avec la farine puis ajouter les jaunes d'œuf, l'eau et l'huile d'olive. Malaxer à petite vitesse avec l'axe en forme de crochet. Dès que la pâte commence à devenir sableuse, la travailler à la main pour lui donner de l'élasticité, et ajouter une cuillère à soupe d'eau si besoin (la texture de la pâte doit être souple et élastique, mais ni cassante ni collante).

Laisser reposer minimum 30 min au frais dans du film plastique. A utiliser ensuite selon les besoins.

A la main

Sur un plan de travail, réaliser une fontaine avec la farine et le sel. Battre les œufs en omelette avec l'eau et l'huile, puis verser le liquide au centre de la farine. A l'aide d'une main, mélanger le liquide avec la farine progressivement, puis lorsque la pâte commence à se former, la travailler avec les deux mains de manière à lui donner un peu d'élasticité (la texture de la pâte doit être souple et élastique, mais ni cassante ni collante).

Laisser reposer minimum 30 min au frais dans du film plastique. A utiliser ensuite selon les besoins.

 

Voici la deuxième (issue du grand Larousse gastronomique) :

Ingrédients (pour 10 personnes)

  • 500 gde farine  
  • 5 oeufs 
  • 3 cl d'huile
  • 10 g de sel fin

Tamiser la farine et la disposer en fontaine. Casser les œufs au centre, verser l’huile et y dissoudre le sel. Incorporer la farine progressivement. Finir en pétrissant fortement et fraiser le pâton pour obtenir une pâte lisse et ferme. La diviser en 10 boules égales et les envelopper dans du papier film, réserver au frais au moins une heure pour qu’elle perde son élasticité.

 

Pour la garniture, la dernière fois c'était viande de boeuf, persil, échalotes et parmesan.

Je les ai faits cuire une dizaine de minutes dans de l'eau bouillante, et je les ai accompagnés de coulis de tomates, d'échalotes (il m'en restait !) et de champignons de Paris.

 

Voilà, voilà, voilà !!!

 

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